Musique libre, qu'est-ce donc?
La médiathèque Trait d'Union propose Doob, une borne d'écoute, de partage et de téléchargement. A vos casques!
Nom
Médiathèque Trait d'union
Adresse
Médiathèque Trait d'Union, Rue du Parc en Ciel, Pau, France
Téléphone
05 59 84 74 18
Tarifs
Gratuit
Adresse email
mediatheques@agglo-pau.fr
Horaires
Mardi : 13h30 - 17h
Mercredi : 10h - 12h30 et 14h - 17h
Jeudi : 13h30 - 17h
Vendredi : 13h30 - 17h
Samedi : 10h - 12h30 et 14h - 17h
Site internet
https://mediatheques.agglo-pau.fr/
Cette borne permet d'écouter et d’emporter des milliers de titres de musique libre de diffusion.
Doob, c'est le pari de la surprise et de l'aventure. Ici, rien de connu, mais l'occasion de découvrir de nouveaux artistes qui ont fait le choix de partager leurs créations.
Elle propose aussi un large éventail d’œuvres musicales entrées dans le domaine public, notamment celles des plus grands compositeurs classiques.
Comment faire? Rien de plus simple, venez à la médiathèque Trait d'Union avec votre clé USB, écoutez, faites votre playlist et repartez avec. La médiathèque propose même des playlists déjà prêtes à emporter!
Et depuis chez vous, une sélection de titres à découvrir chaque mois sur le portail des médiathèques.
Les licences de libre diffusion, c’est quoi ?
A l’ère du numérique et d’Internet, il n’a jamais été aussi facile de reproduire, diffuser ou modifier une œuvre, sans que cela porte forcément préjudice à son auteur. Certains artistes ont d’ailleurs choisi d’encourager ce partage en diffusant leurs œuvres sous des licences de libre diffusion, plus permissives que la loi sur le droit d’auteur.
Cette démarche s’inscrit dans un cadre juridique. En choisissant la libre diffusion, les artistes ne renoncent pas à leurs droits d’auteur mais lèvent certaines restrictions pour le public, essentiellement sur leurs droits patrimoniaux : reproduction en-dehors de l’usage personnel du copiste, diffusion publique, utilisation dans un cadre commercial sans contrepartie financière…
Un artiste peut également donner a priori l’autorisation public de modifier son œuvre, ce qui relève du droit moral. Celui-ci étant inaliénable, l’artiste pourra toujours s’opposer a posteriori à toute œuvre dérivée, en se référant à son droit au respect de l’intégrité de son œuvre. Pour la même raison, il est obligatoire de citer l’auteur d’une œuvre en libre diffusion.